Un congrès aux formats de contributions diversifiés
C’est au sein de l’Université libre de Bruxelles et sur son campus du Solbosch, que les congressistes issus des quatre coins de la Francophonie se sont retrouvés sur le thème : « Paroles, expériences et actions des usagères et usagers de l’intervention sociale : rendre visible l’invisible ». Cet événement a mis en valeur les apports, pour la formation et l’intervention sociale, de la prise en compte des savoirs expérientiels des personnes concernées et de leur pleine participation à l’action sociale.
Emmanuelle Cenis, Manon Grandval, Olivier Simon et Guillaume Christen – la délégation de l’École Supérieure de Praxis Sociale – ont ainsi dévoilé des contributions présentant la manière dont les personnes concernées sont impliquées dans différents dispositifs de formation et de recherche.
Les nombreuses rencontres avec des acteurs de l’intervention sociale et de la formation – en provenance du Québec, de Suisse, de Belgique, et du Liban – ont permis de confirmer l’importance pour notre école de renforcer les dynamiques visant à transformer la formation et les pratiques professionnelles.
Rencontre avec Christine Mahy, Secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté
La dernière matinée s’est déroulée dans l’hémicycle du Parlement fédéral où se déroulait la conférence plénière de Christine Mahy, Secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté. Les membres de l’École Supérieure de Praxis Sociale ont pu apprécier son intervention très engagée sur l’utopie ou l’évidence qu’il faut, pour éradiquer la pauvreté à partir et avec les populations qui sont les premières concernées.
L’École Supérieure de Praxis Sociale était particulièrement heureuse de pouvoir être au cœur d’une telle dynamique de croisement des savoirs et de profiter de cet événement pour rencontrer des partenaires, comme les collègues de l’association Le Lieu, de l’ESEIS ou de l’IFRASS.